Témoignage Témoignage d’une infirmière à l’hôpital public.
👉 Infirmière depuis 1987 à l’hôpital public ( et donc témoin de sa casse au fil des ans), rien, jusqu’à la « crise du Covid 19 », ne m’avait préparée à la politique ahurissante qui a été menée alors par le gouvernement.
- On m’a demandé de bafouer le secret médical en déclarant à des agents administratifs mon statut vaccinal,
- on m’a discriminé ( notamment) en m’obligeant à produire très régulièrement des PCR négatives tandis que mes collègues vaccinées ne se faisaient pas tester ( et pouvaient tout autant être contagieuses),
- on m’a sommée ( avec pressions psychologiques dans le service, convocation à la direction, prospectus joins par courrier à ma fiche de paye, etc…) de me faire injecter un produit expérimental en phase 3 sans aucun consentement éclairé,
- j’ai été suspendue parce que je n’avais pas confiance dans un traitement injectable produit en 9 mois quand un vaccin nécessite en moyenne 10 ans et donc privée de salaire ( durant les longs mois du traitement de ma demande de départ en retraite, qui n’était pas prévu à 59 ans), aucun poste équivalent ne m’a été proposé dans l’établissement et le président de la République a déclaré qu’il avait « très envie de »m’ « emmerder ».
👉 J’ai donc fait appel à mon syndicat pour contester ma suspension qui, à mes yeux, était contraire au Droit européen, français et au Code du travail.
👉 Étant adhérente au Syndicat des Gilets jaunes (SGJ) , j’ai pu bénéficier des services d’une avocate à moindre frais, pour constituer mon dossier. Mais malheureusement, comme partout en métropole et dans les outre-mer, ma contestation a été déclarée irrecevable. Les sentiments d’injustice et de colère ( des professionnels ont basculé dans la précarité et certains se sont donné la mort ) ne m’ont pas quitté depuis.
Ma famille aussi a été très impactée, car j’étais une infirmière bien notée, qui avait à cœur de transmettre aux étudiants en soins infirmiers et en médecine son savoir et son expérience… Sincèrement, sans le soutien professionnel et chaleureux de l’équipe du syndicat des Gilets Jaunes, je n’aurais pas pu échapper à la vague de dépressions qui fait des ravages chez mes collègues.
👉 Mon sentiment à ce jour, à la vue des nombreux effets secondaires recensés dans le monde entier, reconnus et listés dans les notices même des fabriquants, est qu’il faut arrêter de toute urgence les injections à Arn messager, pour examiner avec rigueur et en toute indépendance ces produits, leur mode de production et leurs effets sur notre santé.
👉 C’est la raison pour laquelle j’ai co-écrit avec une autre syndiquée l’été dernier, un article sur le site Web du Syndicat des Gilets Jaunes au sujet de l’OMS : celle-ci annonce en effet vouloir promouvoir très largement cette nouvelle technologie ( très lucrative pour les investisseurs du privé qui la financent à 80% ) basée sur les nanoparticules lipidiques et les organismes génétiquement modifiés.
Aujourd’hui je ne regrette pas mes choix, je regrette seulement que sous la pression des médias mainstream, des lobbies et des politiciens, mes enfants se soient finalement fait injecter respectivement une et deux doses de ce produit.
XXX : Témoignage infirmière à l’hôpital public.