RÉPONSE D’UNE INFIRMIÈRE GILET JAUNE A UNE LETTRE ENVOYÉE AUX SOIGNANTS PAR LES HÔPITAUX DE PARIS :

« Déjà, en français dans le texte, ce serait plutôt Lettre «AUX» personnels de l’AP-HP ; mais «NOUS les soignants» avons bien compris la stratégie de communication mise en place…

Alors à quel moment la communication devient-t-elle de la propagande ?

Lorsque notre ministre nous a écrit dernièrement «Il existe une PROBABILITÉ que la vaccination réduise la contagion», «qu’elle protège les patients, les français»… Puis «Il en va de notre sécurité collective», est-il en train de faire un raccourci incantatoire, ou malhonnête, ou bien les deux ?

On a quand-même le droit de s’interroger sur la proportionnalité des moyens engagés dans cette politique sanitaire.

Faut-il rappeler qu’une autorisation de mise sur le marché CONDITIONNELLE a été délivrée pour les vaccins à ARN et que leur efficacité et leur sûreté ne seront confirmées qu’en décembre 2023 pour le Pfizer-BioNtech et décembre 2022 pour le Moderna ?

Le 29.01.21 L’HAS, la haute autorité de la santé, https://www.has-sante.fr, nous a bien précisé que les deux objectifs de la campagne nationale de vaccination étaient de :

  • Réduire les formes graves et les décès dus à la Covid-19
  • Maintenir les activités du pays et en particulier le système de santé en période de pandémie

Dans son communiqué de presse du 3 juin 2021, concernant la vaccination des adolescents, elle constate encore : «L’efficacité sur la transmission virale n’a pas été évaluée dans les essais.» !

De qui se moque-t-on ?!

Les spots gouvernementaux diffusés à la télévision qui mettent en scène, par exemple, une grand-mère prenant, en rêve, ses petits-enfants dans les bras, visent à nous faire croire que le vaccin, demain, bloquera le risque de transmission ; mais en fait, aucune étude scientifique à ce jour ne le prouve.

L’HAS nous dit encore que «La stratégie de vaccination pourra évoluer au fur et à mesure de l’arrivée de nouveaux vaccins ou si de nouveaux résultats démontrent une efficacité du vaccin pour réduire la transmission du virus.».  C’est très clair là aussi.

Mais quid de la prévention des risques ?

  • Voit-on une surveillance réellement accrue de la saturation en oxygène chez les personnes à risque à leur domicile ?
  • Mobilise-t-on à plein tous les généralistes pour promouvoir une prise en charge précoce, sachant qu’un antibiotique, prescrit même aux femmes enceintes l’Azithromycine, associé à de l’ivermectine ou d’autres anciennes molécules fiables, évite bien souvent les formes graves de la Covid-19 et l’admission en réa du patient ?
  • Pourquoi continue-t-on à fermer des lits quand la population vieillit, souffre de sédentarité excessive et de «mal-bouffe», sans que nous soyons «en guerre» contre l’obésité, le diabète et l’hypertension ?
  • Pourquoi ne voit-on pas se généraliser le dosage des anticorps spécifiques dans la population des personnes vaccinées et non vaccinées ?

L’innovation en médecine n’est malheureusement pas toujours synonyme de progrès. Nous n’avons pas oublié les scandales de l’amiante, du distilbène, de l’hormone de croissance, du sang contaminé, de la dépakine, du médiator, etc.

Alors les paramédicaux seraient «réticents» à se faire injecter un vaccin qui n’est pas une administration classique de virus désactivé et qui est toujours en phase de test ?

Mais faut-il rappeler que 13 à 30 000 décès par an, en France, par iatrogénèse (ensemble des effets néfastes qui peuvent être provoqués par un traitement), ce n’est pas rien ?

Et dans quatre ans, ne dira-t-on pas qu’il a été adopté en matière de santé et d’économie avec le confinement, des choix terriblement et durablement délétères ?

Tout ça «pour ne pas saturer» nos 5000 lits de réa ?

Mais tout le monde sait qu’ils sont saturés tous les ans : les soignants ont suffisamment manifesté pour tirer le signal d’alarme depuis des années !

L’écrivain Aldous Huxley disait : «La philosophie nous enseigne à douter de ce qui parait évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter.».

Aussi, quand le journal «NOUS LES SOIGNANTS» du mois de janvier 2021 affirme (p.3) que «l’ARN messager fait directement synthétiser la protéine virale par les ribosomes sans passer par le noyau de la cellule, là où se trouvent les 46 chromosomes contenant l’ADN humain. Il ne modifie donc EN AUCUN CAS l’ADN de la personne vaccinée.», nous entendons également des scientifiques de renommée mondiale s’émouvoir du fait que l’activité Transcriptase inverse des humains, connue depuis 30 ans, présente une réelle possibilité de transfert de l’information d’une protéine à notre ADN.

(cf publication dans la revue Nature 342 p. 242 concernant l’enzyme rétrotranscripase, par Howard Tenin en 1989, suite aux travaux de M. Beljanski).

Conclusion, pour tous nous faire rentrer « sagement » dans une étude expérimentale, pilotée par des labos qui ont négocié la prise en charge des effets secondaires par les États (qui les avaient généreusement financés avec des fonds publics )… il va falloir «vous lever tôt» !!!

Nous professionnels de santé GJ , NOUS LES SOIGNANTS, nous ne lâcherons rien. »

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