Convoi de la liberté : le visage de notre République, aujourd’hui, est monstrueux.
Force est de constater que l’injustice déguisée en démocratie a bien poussé ses pions sur l’échiquier français : de lois liberticides en états d’urgence, de trahisons du conseil d’État en absences et abstentions dans l’hémicycle, de secrets des affaires en secret du conseil de Défense…
Les milliardaires et leurs valets ont gangrené tous les points clés de la Vème République, qui s’y prêtait si bien…
Alors après avoir éborgné, condamné et mutilé pour l’exemple de nombreux gilets jaunes, le gouvernement a encore une fois montré sa vraie nature le week-end dernier lors des convois de la liberté : celle d’un psychopathe en guerre contre la justice et la vérité, en guerre contre le peuple.
Car c’est bien le propre des tyrannies que de bloquer une capitale avec des tanks, pour empêcher le passage d’un Convoi de la Liberté qui voulait simplement et très pacifiquement dire NON à la misère sociale et NON au pass de la honte.
Tous ces manifestants, gilets jaunes ou pas, moteurs de notre économie réelle, demandaient juste à être entendus et respectés, en accord avec leurs droits élémentaires.
Mais la milice, aux ordres d’une élite violente et méprisante a pratiqué des charges disproportionnées sur des piétons qui chantaient (un jeune homme a eu la jambe brisée, alors que pas une seule vitrine n’était touchée), a inondé de gaz suffocant des familles avec enfants, allant jusqu’à briser la vitre d’un véhicule occupé et outrager le drapeau français.
Des menaces, des arrestations abusives, des accusations mensongères et diffamantes, des agressions, des vols même… Une arme de poing braquée sur un automobiliste désarmé ! Nous avons des dizaines et des dizaines de témoignages, d’images d’une violence ahurissante. Une honte pour la France et des faits très graves que nous n’oublierons pas.
De même que nous n’acceptons pas le harcèlement à l’encontre de Jérôme Rodrigues, accusé abusivement d’avoir organisé le Convoi : on veut le faire taire et le briser, encore et toujours.
Mais sommes solidaires avec Jérôme, lui qui a déjà payé le prix fort pour son soutien à « la famille ». Notre cause est juste, alors on ne lâchera rien. Et sois en sûr Jérôme, on ne te lâchera pas non plus.
Tous les salariés ont basculé psychopathes grâce au Masque.
Prochain virus ils s’entretueront.